Je ne veux pas avancer de chiffres mais il y a du potentiel. Et les vocations ne s'expriment pas forcément aujourd'hui. Il faut remercier les écoles d'herboristerie qui, contre vents et marées - je pense à Clotilde Boisvert, qui a fondé l'École des Plantes de Paris -, ont réalisé un travail extraordinaire et ont permis de faire perdurer ce métier.