La pandémie virale que nous vivons se déclinera peut-être demain en pandémie numérique. Nous pourrions interroger l'ANSSI à ce sujet, notamment pour identifier les entreprises, en particulier françaises, compétentes pour lutter contre ces dangers.
Je relève un point de votre texte : à cause du Brexit, nous allons perdre un partenaire, mais j'aimerais que celui-ci reste notre allié dans la lutte contre la cybercriminalité car il dispose d'une réelle expertise. Le Royaume-Uni s'affranchit en matière de politique de défense, cela me désole, mais il faut que nous parvenions à maintenir un partenariat et une complémentarité.
Enfin, nous sommes encore sous le régime de la territorialité de la loi pénale - l'Europe, en la matière, c'est toujours le temps long et le vote unanime -, mais il faut envisager le parquet sous l'angle européen, car chaque internaute peut être impliqué dans la cybercriminalité.