À Roland-Garros, organisé par la fédération française, les contrôles antidopage sont organisés par la fédération internationale et les prélèvements analysés au Canada. Au moment où l'État négocie avec les fédérations le renouvellement de leurs conventions, ne doit-il pas leur demander de négocier avec les fédérations internationales pour que les contrôles relèvent de leur prérogative ?