J’apprécie l’habileté de votre proposition, monsieur Charasse, mais donner la possibilité aux préfets d’intervenir, comme vous le proposez, ne change rien sur le fond.
En réalité, mieux vaut conserver la taxation en l’état. C’est en se restructurant que les chambres de commerce et d’industrie pourront trouver en elles-mêmes des marges de productivité de nature à faire diminuer les prélèvements obligatoires concernés. Tel est bien l’objectif de la réforme.