Mais je voudrais faire part de mon expérience en tant que membre et même ancien président de la chambre d’agriculture de la Gironde.
Chaque fois que nous rencontrions un problème financier, nous nous adressions au préfet, lequel, sur la base des arguments que nous formulions, demandait au ministre de tutelle, en l’occurrence le ministre de l’agriculture, de trancher. Chaque fois, le problème était résolu !
Par conséquent, je soutiens la position de M. le rapporteur général et de M. le ministre.