Le contraste entre ce consensus et la crispation actuelle nous a frappés, dans les régions, avec l'hypocrisie ambiante sur le sujet. Il n'y a pas que les collectivités territoriales, il y a aussi les relations avec la CAF, dont nous avons sous-estimé la lenteur. Elle devait rendre ses conclusions après la date où nous avons dû nous prononcer. Il faut aussi considérer l'évolution du contexte familial, avec un nombre croissant de familles décomposées-recomposées.