Nous avons effectivement l'impression que l'État, via la police de l'eau, a une vision avant tout protectrice des milieux naturels. Notre police de l'eau a enfilé un gant de fer, comme nous avons pu le constater ce matin en recevant le directeur général de l'ONEMA. Vous nous dites que les syndicats étaient chargés, à l'origine, de réaliser de l'aménagement, et qu'ils s'ouvrent à l'environnement mais que, dans le même temps, ceux existants sont institutionnellement plutôt fragiles. Vous avez réfléchi à une structure nommée EPAGE. De quoi s'agit-il ?