Non, il n'y a pas de négociations et on négocie plus en matière d'eau que de PPRT.
ArcelorMittal, à Rives-de-Gier, nous propose 26 millions d'euros d'investissements et 150 emplois. Dieu sait si je suis attaché à l'industrie mais je leur ai indiqué que la règle des pollutions aux particules n'était pas négociable ! La France est soumise à des amendes de Bruxelles à ce propos.
J'ajoute que nous allons bientôt avoir des zones européennes d'inondation et des aides pour les Territoires à Risques Importants (TRI). Si ce dispositif était en vigueur aujourd'hui, la France paierait des amendes, les zones rouges n'étant pas là où elles devraient être.
Les choses sont en train de se faire à Bruxelles et je ne doute pas un instant que cela va déboucher. On se concerte davantage que vous ne le pensez avec l'ensemble des territoires pour définir ces aides mais on le fait à propos de l'effet du danger.