Vous avez longuement détaillé l'organisation mise en place pour assurer l'indépendance de la rédaction du Monde. Appliquez-vous les mêmes principes aux autres médias de votre groupe ?
Vous avez en outre évoqué les difficultés de la presse écrite, la baisse des revenus publicitaires et le nombre de points de vente en diminution drastique chaque année. Qu'est-ce qui vous attire dans les médias ? En d'autres termes pour paraphraser Molière, que diable allez-vous faire dans cette galère ? C'est un secteur en difficulté, dont vous dites de surcroît ne tirer aucun revenu. Cela m'interroge.
En troisième lieu, vous avez cité parmi les médias de votre groupe, L'Obs, Le Monde et Les Jours. Si Le Figaro était en difficulté, seriez-vous attiré par une reprise ? Pour vous, serait-ce rock ou fun ?