Je veux tout d'abord remercier notre président et notre rapporteur pour le travail qu'ils ont accompli.
Pour revenir sur le problème des « les petits boulots», outre le fait qu'ils constituent une ressource complémentaire non négligeable pour les étudiants, ils permettent à ceux - ci de se confronter au monde des entreprises et d'y apprendre la rigueur, la ponctualité ainsi que le respect des contraintes et de la hiérarchie. Cette activité économique, d'autant plus indispensable que l'éloignement de la famille est important, représente également l'occasion de relations entre les générations et une étape pour aborder l'entrée dans la vie active.
Sur le développement des cours en visioconférence pendant la crise sanitaire, je souhaite signaler que cette situation existait avant cette crise, dans les établissements universitaires d'Outre-mer. Pour des questions d'agenda, de coût des transports mais également de prise en compte des décalages horaires, des professeurs dispensaient déjà leurs cours en visioconférence à nos étudiants ultramarins présents physiquement, pour leur part, dans l'amphithéâtre.
Il faudrait à mon avis que le rapport de notre mission mette en avant les points forts et les expériences positives apparus durant cette pandémie.