Nous avons été auditionnés à la fin de l'année dernière par le Secrétariat général de la mer (SGMer), que nous remercions encore de son écoute. Pour l'heure, notre implication s'arrête là.
J'insiste sur le fait qu'il s'agit selon nous d'une excellente initiative, car les grands fonds marins restent inconnus à ce jour. Nous n'avons pas de difficulté technique pour faire descendre nos engins à de telles profondeurs : reste à trouver les financements.