a précisé que le nouvel établissement public serait un point d'ancrage, assurant la coordination de la gestion et la valorisation des locaux dont la propriété, de toute façon, relève actuellement des conseils régionaux, dans le cadre d'une politique de conventionnement avec les différents clients (conseils régionaux, entreprises...). Il a précisé que cela impliquait un rapprochement avec l'AFPA, d'ailleurs effectivement mis en oeuvre sans difficulté sur le terrain, mais plus difficilement au plan national sans doute pour des raisons de rattachement ministériel et de financement. Sur le statut des conseillers en formation continue, sur les 1 300 conseillers, il a rappelé que 60 % sont d'anciens contractuels qui ont conservé leur statut d'origine, alors qu'il s'agit d'un métier à part entière nécessitant des relations stables et approfondies au niveau du territoire. Il a souligné la nécessité de donner un réel statut à ces conseillers, éventuellement par le biais d'une intégration dans le cadre des ingénieurs-techniciens de recherche et formation (ITRF), qui dispose d'une filière spécifique (conseillers en formation) au niveau du rectorat, sans occasionner de dépense budgétaire supplémentaire, à l'exception de quelques postes de fin de carrière.