a relativisé l'idée selon laquelle les publics de l'apprentissage et des contrats de professionnalisation étaient différents.
Il a estimé fondamental, en outre, de maintenir des formations diplômantes qui constituent à la fois un gage de qualité et une garantie d'adaptabilité pour les jeunes. Il a ajouté que ces formations représentaient 80 % des contrats en alternance et que leur raréfaction mettait en danger la survie d'un appareil de formation qui a fait la preuve de son fonctionnement dynamique. M. Xavier Baux a également souligné la nécessité de ne pas enfermer dans des « ghettos » les formations dites qualifiantes, destinées à des publics volatiles, en veillant à préserver dans leur environnement immédiat des formations diplômantes.
Il a constaté que, jusqu'à présent, la « fongibilité » avait surtout contribué à permettre de compléter le financement d'un certain nombre de centres de formation d'apprentis (CFA) en situation de fragilité.