a ajouté les précisions suivantes :
- la mise en oeuvre du DIF doit conduire à une véritable « coresponsabilisation » de l'employeur et du salarié, qui reste encore insuffisamment développée ;
- le système de formation professionnelle n'est pas aussi performant qu'il devrait l'être, en raison de lourdeurs administratives et de rigidités ; il lui faut gagner en réactivité, afin de mieux répondre aux besoins d'adaptation des salariés, tout au long de leur parcours et notamment en cas d'« accidents » professionnels ;
- la formation professionnelle ne saurait être un moyen d'« acheter » une forme de consensus social au sein des entreprises ; à cet égard, la mutualisation doit être renforcée en vue de mieux accompagner les petites entreprises dans leurs démarches de formation.