Aujourd'hui, nous atteignons des profondeurs de 3 000 mètres. Les technologies existent et nous sommes capables d'aller plus loin de manière incrémentale, en faisant des ajustements sur les matériaux ou les procédés.
Il est possible de transférer ces technologies sur l'exploration minière sous-marine, mais ce n'est pas la même chose de transporter un fluide, ou un gaz, et une roche. Globalement, les équipements dits fond-surface existent et peuvent être adaptés, mais récolter ou collecter des roches nécessite autre chose : il nous faudra marier un équipement de type agricole et un robot sous-marin, soit autonome, soit piloté. Les liaisons fond-surface et la robotique sous-marine sont notre coeur de métier.