Je partage l'avis de Mme Génisson : nous devons bien définir notre champ de compétence. Le marché des interventions esthétiques s'accroît malheureusement énormément, jusqu'à devenir un phénomène culturel ; vous avez cité le Brésil, où celles et ceux qui n'y ont pas recours sont considérés comme « différents ». Si nous l'élargissons aux prothèses, intéressons-nous à la production de l'objet, plutôt qu'à la qualité de celui qui le pose. Le champ est énorme, si nous l'étendons à tous les implants, y compris dentaires. Réfléchissons-y, ne nous éparpillons pas mais ne nous restreignons pas trop.