En 1958, trois barrages écrêteurs ont été construits sur le Vidourle et ses affluents et lorsqu'arrivent, en 2002, les inondations à Sommières, on voit la limite de l'exercice, on ne peut pas construire un barrage d'Assouan partout, heureusement d'ailleurs, et il faut accepter de vivre avec le risque. Les habitants se sont adaptés.
L'existence de repères de crues sur les bâtiments dans les villes est le contraire d'une logique d'interdiction. Une telle approche n'est peut-être pas généralisable telle quelle, mais il est certain que plus de souplesse appelle également plus de bon sens.