Je peux évoquer quelques points de progrès. Tout d'abord, un meilleur cadrage juridique des PPRI est nécessaire pour un traitement équitable des citoyens au regard du risque et pour définir de manière homogène les aléas. La programmation des PPR, fixée par la loi de 1995, est relativement jeune. Une priorisation des risques et donc des PPR en concertation avec les acteurs locaux et en intégrant les impératifs de l'aménagement du territoire me paraît également nécessaire.