Le Corimer a été cité comme passage obligé pour les thématiques sur les fonds marins. Cependant, le conseil d'orientation est un goulot d'étranglement pour l'innovation : créé pour les industriels de la mer, il n'embrasse pas du tout la partie sur les fonds marins. Le chantier sur les navires est déjà énorme, et le Corimer n'a pas fait ses preuves en matière de green ship ou smart ship. Nous ne voulons pas complexifier. La filière des industriels de la mer n'est pas suffisamment installée et nous ne voulons surtout pas que le Corimer soit obligatoirement associé aux processus de financement ; il faudrait travailler directement avec le Secrétariat général pour l'investissement (SGPI) et les guichets de financement tels que l'Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie (Ademe), la Banque publique d'investissement (Bpifrance), l'Agence nationale de la recherche (ANR) ou la Banque des territoires.