Si vos interventions ont quelques différences sensibles, elles se rejoignent toutes sur la nécessité d'engager cette réforme - et je crois que nous partageons tous ce consensus.
Vous avez affirmé que le calendrier devait être assoupli, sans devenir facultatif pour autant. Vous avez dit qu'il fallait favoriser la confiance, plutôt que de prendre des mesures coercitives. Pouvez-vous préciser comment vous voyez les choses ?
Vous avez par ailleurs estimé que nous étions régis par des compétences distinctes, celles de l'Etat et celles des collectivités. Que faut-il faire pour passer à des compétences partagées ?
Enfin, le décret précise que le samedi est une journée dérogatoire. Chaque inspection d'académie interprète les choses de façon différente. Or, même si tout le monde reconnaît qu'il faut mettre l'enfant au centre du système, il existe des intérêts catégoriels difficiles à surmonter. Quelle est votre position à ce sujet ?