La France y est favorable, sans en attendre de miracles. Le Conseil, dans un consensus, a décidé de commencer par les produits les plus complexes (la retitrisation), là où le risque est le plus élevé. L'avantage de la rotation, c'est qu'elle permet une plus grande concurrence. Mais il ne faudrait pas que cette rotation ne concerne que les seules agences de notation installées au détriment des nouvelles. Il existe d'autres solutions à examiner, le recours aux appels d'offres par exemple.