Je voulais vous livrer une impression que je trouve révélatrice et qui ressort de nos échanges au vu des profils des participants à la table ronde. On a, en effet, l'impression que ce n'est pas le problème de l'enseignant, alors que j'ai l'idée qu'il faut laisser de la place en classe au vivant, aux émotions, sinon les élèves ne se confieront pas. Je ne veux pas caricaturer, mais dans la formation à l'Inspé si on est seulement sur le programme et pas sur l'affect, on risque de passer à côté de beaucoup de choses et alors on finit par externaliser le traitement hors de l'établissement.