À mon avis, pour bien vivre individuellement et collectivement, il ne faut pas choisir entre l’un ou l’autre de ces objectifs, ni considérer qu’il y en a un qui serait meilleur que l’autre. Il faut, au contraire, penser l’aménagement dans son ensemble. Voilà ce qui doit nous guider.
C’est pourquoi nous voterons l’article 1er, qui intègre les assouplissements prévus par la commission spéciale.
Enfin, j’entends tout ce que l’on se dit – la France est un pays merveilleux ! –, mais, en 2050, il y aurait, selon les projections, quelque 10 milliards d’habitants sur la planète. Ainsi, des clauses de rendez-vous sont nécessaires, comme vous l’avez dit, monsieur le ministre. Si nous ne nous saisissons pas pleinement de ce sujet à l’échelle mondiale, les gens seront entassés, victimes de guerres ou de famines.