Il s’agit d’une question grave, à laquelle nous devons apporter des réponses solides. Je ne reprendrai pas tous les arguments que Mme la ministre Dominique Faure et M. Théophile ont développés à l’instant. Ils sont véridiques et je les partage.
C’est pourquoi, mes chers collègues, j’ai voté en faveur de la loi NOTRe en 2015.