Ce n’est pas regrettable pour moi, mon petit cas personnel est sans importance. En revanche, c’est regrettable, et embêtant, pour l’esprit – tel que je l’ai perçu et compris en près de dix ans de mandat au sein de cette institution – qui préside à nos travaux, la reconnaissance que nous avons les uns envers les autres, quand bien même nous n’avons pas pris les mêmes engagements partisans.
C’est un coup de canif à cette façon de travailler que je crois très précieuse. Je le répète, c’est regrettable !
Je ne vais pas en faire des tonnes, mes chers collègues, mais je pense qu’il faut veiller – je le dis, en particulier, à l’attention de Françoise Gatel – à la façon dont on conduit collectivement les délégations, mais aussi les commissions et les autres organes de notre institution.