Avant tout, je tiens à remercier ma collègue Raymonde Poncet Monge, qui m’a proposé de défendre cet amendement.
Ceux qui me connaissent savent mon attachement à l’esthétique, notamment à l’esthétique de l’inutile, que les Anglais nomment « l’art pur » ; à vrai dire, c’est un geste esthétique inouï que de défendre des amendements qui ne seront ni débattus ni soumis au vote, du fait de la censure prononcée par le Gouvernement en vertu du 44.3. Encore une fois, merci, ma chère collègue !