Nous ne souhaitons pas forcément l'ouverture à la concurrence. L'Union européenne a rejeté l'option de la prolongation pour travaux. Il serait possible de rassembler des concessions qui ont un lien hydraulique. L'État et la SHEM avaient opté pour ce regroupement dit « par barycentre » pour deux ouvrages situés de part et d'autre de la Dordogne, mais la loi et le décret n'étaient pas en conformité avec les textes européens et ont été annulés.
L'hydroélectricité est le Samu du réseau électrique, si je puis dire, et elle est au coeur de la question de l'eau. Autrement dit, c'est juridiquement très compliqué et une impulsion politique importante est nécessaire.