Madame la ministre, vous avez conscience des problèmes et vous savez que tout se joue au niveau européen. Les choses étant très contraintes, on ne peut faire comme on veut. Toutefois, il y va de l’avenir de notre agriculture : on ne peut en rester à la situation actuelle.
Je regrette l’absence, ce matin, du ministre en charge de ce dossier : vous vous occupez d’éducation, alors que ma question relève de l’agriculture. Je sais bien que M. Fesneau est mobilisé sur ce thème, mais il faut agir et ce que vous avez proposé ne suffit pas. Comme je l’ai souligné, ce ne sont pas seulement les producteurs, mais aussi les professionnels et les services départementaux qui s’inquiètent de la réglementation actuelle.