Cet amendement me semble être un amendement de défiance à l’égard des délégations à la protection de la forêt, que nous souhaitons pourtant encourager. Pour rappel, il s’agit d’une possibilité ouverte par l’article 6.
Afin de rassurer notre collègue Louis-Jean de Nicolaÿ, je tiens à rappeler que la délégation à la protection de la forêt méditerranéenne, dont l’action est largement reconnue et appréciée – je parle sous le contrôle du président de la commission spéciale, Jean Bacci –, n’emploie que quatre personnes : difficile dans ce cadre d’empiéter sur les compétences des autres services de l’État.
Par conséquent, l’avis est défavorable sur cet amendement qui a pour objectif de restreindre l’activité de ces délégations que nous souhaitons encourager.