Cela n'est plus possible.
Madame la secrétaire d'État, je voulais vous alerter sur ce problème qui, s'il perdure, aggravera encore un peu plus l'assèchement de nos rivières et compromettra la capacité des nappes phréatiques à se recharger. Aujourd'hui, elles se vident l'hiver et n'ont plus rien à donner l'été. Telle est la réalité, sans doute trop compliquée pour la haute technostructure, mais sur laquelle il est tout de même temps de jeter un coup d'œil. §