De même, vous dites vouloir libérer les énergies, susciter les innovations, alors que vous vous acharnez à encadrer les pratiques professionnelles des enseignants jusque dans les moindres détails.
Même à titre expérimental, la contractualisation que vous envisagez conduirait inévitablement à une école à la carte.
D'un service public national motivé par une obligation de moyens alloués par l'État, nous basculerions vers une myriade d'écoles sur le modèle des écoles privées, avec des objectifs particuliers qui conditionneraient programmes, moyens, horaires et recrutement des enseignants.