Il s'agirait donc de reporter leur suppression à la rentrée 2025, au lieu de la rentrée 2024.
Néanmoins, le Gouvernement, pour les raisons qui ont déjà été indiquées, est défavorable à cet article, qui revient sur un principe de la loi du 26 juillet 2019. L'année supplémentaire que je propose devrait permettre de parvenir à un compromis.