Il convient de distinguer entre deux choses – je m’adresse là au sénateur Paccaud.
Tout d’abord, le développement de concours bivalents dans le second degré est un chantier qui pose de nombreux problèmes en termes tant de cursus universitaires que d’épreuves de concours, et nous n’y sommes pas favorables.
Par ailleurs, la réglementation actuelle permet déjà l’intervention d’un enseignant dans le cadre d’un complément de service dans une autre discipline que celle de son recrutement. Cette solution, souple en termes de gestion, offre beaucoup d’avantages et permet de répondre à certains besoins. J’y suis favorable.
Par conséquent, j’émets un avis favorable sur ces amendements de suppression, tout en partageant les propos qui ont été tenus sur l’intérêt de la bivalence.