Monsieur le ministre, en l’absence de réponse du ministre de l’économie, des finances et de la souveraineté industrielle et numérique, je vous indique que nous prônons depuis longtemps la relocalisation, car elle est une condition de cette indispensable transition écologique.
Pour autant, l’industrie ne doit pas seulement être décarbonée, comme vous le revendiquez : elle doit être réellement verte, c’est-à-dire socialement utile, soutenable et économe en eau. Les arbitrages sur les prélèvements d’eau doivent être transparents, décidés démocratiquement, en exigeant qu’ils soient modérés pour préserver les milieux.