Je souhaite répondre aux propos de Mme la rapporteure et de Mme la présidente de la commission des affaires économiques. La question de la temporalité de ce texte a en effet été soulevée à plusieurs reprises. Toutefois, s'il vient à contretemps – et je m'en excuse –, vous êtes bien placées pour savoir que les choix que nous faisons dans les groupes politiques ne tombent pas forcément dans le bon calendrier : l'examen de cette proposition de loi aurait pu être inscrit dans le cadre d'une niche socialiste, au mois de novembre ou de décembre derniers, mais il n'intervient qu'aujourd'hui.
Je suis désolé d'avoir froissé l'ego de certains d'entre vous sur ce sujet.