On en revient toujours à la nécessité de l'information. En revanche, le Gouvernement ne peut être favorable à cet amendement, puisque tout professionnel de santé peut informer la femme, dès le début de sa grossesse, des risques associés à celle-ci. En outre, cet entretien prénatal a lieu lors du quatrième mois de grossesse, quand le risque de fausse couche est déjà réduit. L'information doit être donnée un peu plus tôt. Pour toutes ces raisons, l'avis du Gouvernement sur cet amendement est défavorable.