Madame la sénatrice, je vous remercie de soutenir les policiers et les gendarmes.
J’applique la loi de la République, c’est-à-dire la loi qui a été votée par les deux chambres. Je suis d’ailleurs au regret de vous dire que la proposition de loi de M. Retailleau, adoptée par la Chambre haute comme par la Chambre basse – et le Gouvernement était à l’écoute –, a été censurée par le Conseil constitutionnel.