Je rebondis sur les propos de notre collègue Fabien Gay : l'intérêt général prime et il commande de veiller à la santé de notre jeunesse. Nous ne parlons pas ici de prohibition de l'alcool.
Il faut bien évidemment tenir compte des facteurs économiques. Pour autant, ces considérations ne doivent pas occulter les autres conditions qui s'imposent à la publicité sur un tel produit. On ne peut se permettre de vendre ou d'inciter à consommer n'importe quoi. Nous l'affirmons régulièrement à propos des drogues ; l'alcool doit être traité avec la même vigilance.