Madame la ministre, un tiers des dossiers sont actuellement rejetés. Les éleveurs du département lancent un véritable cri de détresse. Ils ont d’ailleurs alerté le ministre Marc Fesneau lorsqu’il est venu dans les Pyrénées-Atlantiques.
Certaines exploitations sont aujourd’hui en danger. La courbe des installations, qui connaissait une dynamique positive, est en train de s’inverser. Les critères mis en place ne répondent pas à la réalité du département, avec une économie de montagne et de transhumance particulièrement performante. Je demande de nouveau au Gouvernement d’examiner de près la situation des éleveurs de la montagne pyrénéenne.