Je vous remercie, madame la ministre, de votre réponse détaillée. Il y a effectivement urgence.
En raison des difficultés que je viens d'évoquer, près de 60 infirmiers sur 100 envisagent de quitter leur profession d'ici à cinq ans.
Face à une population française vieillissante, il faut absolument arrêter cette hémorragie et accéder aux revendications de la profession, que j'aurais pu évoquer également. Je pense à la revalorisation des lettres clés de leur nomenclature ainsi qu'à une meilleure prise en compte de la pénibilité de la profession pour les droits à la retraite.