L'extension prévue est limitée aux communes ayant un lien particulier et important avec l'activité hippique. En effet, ces communes ont déjà une relation étroite avec l'industrie du jeu, du fait des paris hippiques qui y ont lieu. Un casino compléterait une offre existante et permettrait à la commune de dégager une nouvelle manne financière.
Cependant, je m'interroge sur le caractère trop restrictif de cette définition. En effet, cette nouvelle occasion ne semble concerner que deux communes en France : Arnac-Pompadour et Saumur.
Ainsi, elle exclut des communes de premier plan en matière hippique, qui méritent tout autant de se voir accorder l'ouverture d'un casino sur leur territoire. Je pense évidemment en particulier au sud de l'Oise, caractérisé par ses nombreux haras, ou à des communes hippiques de premier plan, comme la cité impériale de Compiègne ou encore Chantilly – capitale du cheval, n'en déplaise à Fontainebleau !