Ce n'est pas parce que l'on ânonne qu'il existe des solutions qu'il en existe vraiment. Ce n'est pas parce que l'on pose une interdiction qu'il y a des solutions.
Nous avons besoin de nous mettre dans la transition, car, le jour où nous n'aurons plus de betterave ni de sucre en France, savons-nous où nous irons les chercher ? Dans l'accord avec le Mercosur, sur lequel vous tapez tant. Ce n'est pas très cohérent. Or nous avons besoin, collectivement, de cohérence. §