Je soutiens ces amendements.
Comme le ministre l'a souligné, en Île-de-France, des plans alimentaires territoriaux sont en cours d'élaboration dans la plupart des collectivités. Ces dernières, qui ont traversé la crise covid, ont pris acte des ambitions fixées par la loi Égalim ; elles y travaillent, et elles progressent.
Or ce n'est pas toujours facile, en particulier dans des territoires dépourvus de terrains agricoles – cela étant, en Île-de-France, on trouve un peu de production agricole. Nous revendiquons souvent de la stabilité pour nos collectivités. Nous ne faisons pas autre chose en défendant l'équilibre qui a été trouvé. Grâce à cette exigence de qualité, la commande publique deviendra sans doute, à l'avenir, l'un des moteurs de la transition agroécologique.