Dans le cas de Yannick Morez, c'est l'accumulation de faits avant qu'une réaction se produise qui pose problème. Il aurait fallu réagir très rapidement.
Aujourd'hui, c'est avant tout notre démocratie qu'il s'agit de protéger et, pour ce faire, il faut absolument que les coupables aient peur de notre justice. §