Le Conseil national de la restauration collective existe déjà aujourd'hui de façon informelle et il fonctionne bien.
La définition de sa mission nous semble toutefois suffisamment large pour éviter les rigidités que son introduction dans la loi entraînerait, d'autant que nous sommes d'accord sur l'objectif d'un travail en commun pour trouver des solutions.
Par conséquent, la commission émet un avis favorable sur cet amendement.