Madame la Première ministre, les élus de la République demandent non pas de la compassion, mais de l’action. Ils veulent surtout pouvoir agir eux-mêmes.
Quand Mme Dominique Faure évoque la création d’un centre d’analyse pour comprendre ce qui se passe dans le pays, permettez-moi de vous dire que nous le savons depuis bien longtemps, car tout est quantifié et quantifiable.
Nous demandons simplement que la réflexion qui est conduite, notamment par le Sénat, puisse aboutir à des actes permettant de protéger les élus de la République.