Nous sommes, paraît-il, dans les cent jours d’apaisement de la société. Notre demande est simple. Il ne s’agit pas de supprimer cet arrêté, mais de le suspendre. Les associations que vous avez citées, mais aussi bien d’autres encore, demandent la reprise des négociations, d’autant qu’un certain nombre de propositions ont déjà été faites.