Monsieur Repentin, nous avons les mêmes objectifs.
Mais pour quelles raisons considérez-vous qu’il n’y aurait pas de nécessité de mobilité dans les zones urbaines sensibles, par exemple ? De même, pourquoi nier des besoins de mobilité dans les zones non tendues, comme les zones rurales ? Franchement, eu égard à la réalité, votre position n’est pas la bonne.