Monsieur le président, mesdames, messieurs les sénateurs, monsieur le sénateur Capus, avant toute chose, je veux moi aussi saluer les sapeurs-pompiers de ce pays, qui ont été en première ligne l’année dernière et qui, nous le savons, auront de nouveau à faire preuve de courage et de dévouement durant l’été.
L’année dernière, ce sont 72 000 hectares, dont 60 000 hectares de forêts, qui ont été touchés par des feux ayant eu pour particularité de se déplacer sur une partie nord du territoire, compte tenu du dérèglement climatique. Vous avez bien évidemment cité le Maine-et-Loire, mais je pense aussi à la Sarthe ou aux monts d’Arrée.