À l’instar des articles précédents, l’article 3, qui est relatif aux règles de gouvernance au sein de la holding, ne nous satisfait pas.
La complexité des articulations juridiques entre les rôles du président de la holding et du directeur de chaque société annonce à nos yeux des difficultés futures, qui risquent de prendre le pas sur la coopération et sur les synergies.
Il est même probable que le nouveau président estime rapidement que la prise de décision suppose d’être en nombre impair et que trois personnes, ce serait déjà trop !